Le groupe londonien Daughter mené par Elena Tonra offre une version de Get Lucky dépouillée et grave pour l’émission de Huw Stephens sur la radio BBC 1. Un peu triste mais pas ma!
Le groupe londonien Daughter mené par Elena Tonra offre une version de Get Lucky dépouillée et grave pour l’émission de Huw Stephens sur la radio BBC 1. Un peu triste mais pas ma!
George Barnett a 19 ans, est mannequin et est batteur dans le groupe très bien cravaté These New Puritans.
Il y a une dizaine de jours, je râlais (comme souvent) et trépignais d’impatience. Où donc était ma gambettes box? Pas dans ma boite aux lettres, ça c’est sûr, puisque je n’en ai pas. Le maudit facteur s’est présenté un samedi à 8h alors que nous étions encore au lit. Le début d’une journée de merde. J’ai râlé toute la journée et si mes souvenirs sont bons, j’ai fini en crise de larmes suite à la lecture d’un article de société dans Grazia (si, bien sûr qu’il y a des articles de société dans Grazia). Donc preuve est faite que je devrais me cantonner aux articles mode et beauté… ça évite des larmes inutiles. Bref.
La box est donc arrivée un samedi. Incomplète la box. Il manquait le cadeau d’ambassadrice (souvenez vous, les 5000 premières inscrites devenaient ambassadrices et avaient un cadeau surprise dans la box). En plus d’être réveillée à pas d’heure, il manque un truc dans ma boîte et en plus de plus, le collant noir est identique au collant noir de la première box. Alors, depuis j’ai appris que soit disant, c’est normal. Les collants noirs sont toujours les mêmes, seuls les collants fantaisies changent… hum… mouais… Bref.
Après plusieurs mails et une interminable attente, j’ai enfin eu la surprise par la poste. Merci Bérengère. Et j’ai envie de dire que je laisse encore une chance à Gambettes Box de me séduire. Sinon, je me désabonne. Voilà, comme ça, ça c’est dit. Bon allez, je retourne à FunnyBeauty. A ciaO ***
Ma boîte à Beauté ne pouvait pas mieux tomber! Déjà que je me sentais heureuse! Je ne sais pas trop ce qui m’arrive en ce moment, mais même si la météo me fait parfois friser la déprime, je ressens souvent des immenses accès de joie de bonheur. Vous voyez ce que je veux dire ou pas? Et quand la gardienne m’a apporté le paquet, je n’en pouvais plus de joie! Les sourires béats ont remplacé les cris d’hystérique…. Bref, je m’égare, ne m’en veuillez pas… Qu’est ce qu’elle contient ce mois-ci la boite à beauté? (pour celles qui veulent garder la surprise complète, ne cliquer pas sur lire la suite) Lire la suite
Autrement dit Sainte Sophie – En turc, Sainte-Sophie est appelé Ayasofya.
Sainte-Sophie est une ancienne basilique chrétienne fondée à l’époque de Constantinople au VIème siècle (en 532, j’ai peine à m’imaginer cette date!). On estime que Sainte-Sophie a été construite en 5 ans et que plus de 10 000 ouvriers sont intervenus lors de la construction de Sainte-Sophie. A l’époque du sultan Mehmed II (XVème siècle), Sainte-Sophie a été transformée en mosquée. Sainte-Sophie, mosquée ou église, n’est plus un lieu de culte depuis 1934, année où elle a été classée comme musée. A l’époque de sa construction, Sainte-Sophie était la plus grand basilique au Monde. Elle le restera d’ailleurs jusqu’à la construction de la cathédrale de Séville. Lire la suite
DEMAIN dans certains magasins H&M. KITSCHISSIME mais j’adore ! (On se refait pas). Les images, la musique, les couleurs, ce clip est mortel! Lire la suite
Bonjour à tous,
Le mois d’août a été, jusqu’à aujourd’hui, plutôt calme sur les marchés, mais la rentrée s’annonce chargée en évènement. Dans cette note je vais faire un point rapide sur l’évolution de la crise en zone Euro, puis un point sur la situation au Moyen Orient, et enfin un focus sur le Japon dont je n’ai pas beaucoup parlé ces derniers mois.
1. La zone Euro : après les belles paroles, quels actes ?
La majeure partie des intervenants, super Mario (Draghi) en tête, n’ont cessé de faire des annonces rassurantes ces dernières semaines. Le « on fera tout pour sauver l’euro » a été repris par Merkel, Monti, Hollande & Co. C’est bien, les intentions ont bonnes, de l’extérieur on pourrait presque avoir l’impression que la zone Euro est devenue une « happy family », mais qu’en est-il réellement ? Lire la suite
Finalement, vendredi nous n’avons pas perdu notre journée. Dans la matinée, avant le triste épisode du non-tatouage, nous avons vécu l’épisode Musée d’Art Contemporain de Lyon et la rétrospective géante Greatest Hits de Robert COMBAS.
Robert Combas c’est qui? C’est un plasticien et peintre né à Lyon en 1957. Comme l’explique son site internet, sa peinture est empreinte de libertés. Elle parle de la société, de la violence, de la sexualité, de la souffrance des gens, de leur petits bonheurs, de leur petitesse ou de leur grandeur.
Sa peinture s’inspire aussi du rock (dont Combas est amateur il a même un groupe de rock « les sans pattes« ), des images populaires, des livres d’enfance… de tout ce qui fait une culture populaire accessible à tous.
Ce soir, on s’attache à regarder ces oeuvres plus « sexuelles » que les autres. Et vous pourrez noter la grande imagination de Monsieur. Avec Chéri, nous étions surpris de voir des classes de primaires étudier des tableaux soft à côtés de tableaux holé-holé… Petite visite:
La suite dans un instant.
Tout d’abord, choisir un tatoueur (dans mon cas une tatoueuse) à l’autre bout de la France (en l’occurrence Lyon).
Ensuite, communiquer par mail uniquement. Recevoir le dessin une bonne semaine avant, par mail. Donner ses impressions par mail. Et attendre une réponse concernant la taille du tatouage(parce qu’on a quelques doutes), qui ne vient pas.
Une fois sur place, contester la taille et demander une modification. Qu’on ne veut pas vous laisser faire… Accepter finalement la taille originale, pour la refuser quelques minutes après alors que la calque est posé… Allez, je vous raconte:
J’ai tout de suite aimé le travail de Dodie. Et je lui ai demandé un cover (couvrir un tatouage par un autre). L’idée c’était de faire un flamand rose. Une semaine avant la date du rdv, je reçois mon dessin. Je suis excitée comme une puce et un peu angoissée tout de même. J’en rêve la nuit de ce cover. Le dessin est à tomber, je l’adore, mais j’ai un gros doute sur la taille. Il a l’air énorme pour mon avant bras de moineau… Par mail, je lui fais part de mes doutes, mais a priori il n’y a pas le choix, rapport à mon moche tattoo à couvrir. Je me dis qu’on verrait sur place.
Une fois au studio à Lyon, après une petite nuit (réveil à 6h, train à 8h), je stresse plus que jamais, mon coeur bat à mille à l’heure. Le dessin a un peu changé, au lieu d’un soleil en fond (on voit souvent les flamands rose sur fond de coucher de soleil) je vois une magnifique rosace. Un Mandala que j’adore de suite. Du coup, je me rends compte que je préfère le tattoo sans le corps du flamand. Juste la tête et le mandala. Certes on obtient une bête un peu bizarre et hybride (presque un paon). Mais en même temps, vu ce que j’ai déjà, c’est assez cohérent.
Je soumets l’idée à Dodie qui ne le sent pas du tout. Elle ne veut pas amputer son dessin, qu’elle trouve très bien comme ça. Elle m’explique le bien fondé de l’ensemble. Je suis a priori la cliente angoissée typique qu’il faut secouer un peu, genre: « bon mais tu l’aimes le dessin non? Bon bah alors! ». Devant ses arguments, je m’incline… Oui… C’est vrai… Pourquoi pas… Ma pensée titube, mon sang siffle dans mes oreilles. Elle pose le calque. Une fois, deux fois. Le temps de faire quelques ajustements au feutre, mon esprit le sait. Je vais devoir refuser. Le temps d’aller faire pipi (petite vessie+flippette) et ma décision est prise. Je reviens et lui dis que je ne suis plus d’accord. Le tatouage sera trop gros. Ce n’est pas un problème de confiance, je sais que ce qu’elle fait est superbe. D’une finesse incroyable. Mais là, je ne le sens pas. Désolée.
Elle essaie de me convaincre, me dit de prendre le temps de réfléchir, de discuter avec Chéri qui m’attend gentiment en jouant au poker sur son téléphone. Mais je ne veux l’avis de personne. Je sais que je ne veux pas un tatouage de cette taille. Même si pour un cover, je vais être bien obligée d’augmenter la taille de l’existant. Après quelques larmes de honte et de pression qui retombe (mon Dieu, quand je fais ça je pourrais me coller des tartes!), je lui paie la un « défraiement » qui m’effraie encore rien que d’y penser. Et je pars, sans aucun regret. Chéri aussi est content, il ne va pas manquer le barbecue du foot de sa petite bourgade. Tout est bien qui finit bien.
Donc on récapitule. Pour éviter ça. On exige une bonne communication avec son tatoueur. On calibre la taille du motif et si possible on fait des essais au feutre. J’aurais dû faire comme avec Piet du Congo. On s’est vu au moins 5 fois avant le jour du tatouage, je lui ai raconté ma life. On a parlé de la taille de chaque dessin. Je lui ai envoyé des milliards de mails, auxquels il a chaque fois répondu. Et c’est ce qui fait que je lui ai fait confiance, il a cerné ce que je voulais même s’il n’était pas toujours ok avec moi.
Finalement cette petite expérience a été instructive. J’ai appris des trucs sur moi. Et je n’ai pas abandonnée l’idée du cover. Je cherche toujours un tatoueur ou une tatoueuse, mais pitié à Paris cette fois! Et qui saura m’écouter davantage. Si vous avez des contacts, je suis preneuse! Allez, à ciaO ***
« Je suis trop fière! Moi aussi j’ai mon maillot de l’équipe de France! »
Mais ça c’était avant. Avant de lire un article édifiant sur la « composition chimique » des maillots de foot de l’Euro. Mais j’aurais dû m’en douter, je me méfies déjà des marques du groupe INDITEX (Zara, et compagnie), qui fait travailler des gosses pour qu’on soit de parfaites fashionistas, toutes habillées pareil.
Pour la faire courte, le Bureau Européen des Associations de Consommateurs (BEUC) basé à Bruxelles nous met en garde. Les maillots officiels des équipes qualifiées pour l’Euro 2012 contiennent des substances toxiques, dangereuses pour la santé sic! (plombs, nickel, composés chimiques anti-odeur).
Pour rappel, ces substances peuvent être toxiques pour le système nerveux. Le nonylphénol présent dans ses maillots perturbe le système endocrinien (vous savez les substances responsables (entre autre) des pubertés précoces chez les petites filles…) Le pire, c’est que ce n’est pas la 1ère fois qu’on parle de substances toxiques dans les vêtements… (voir le lien sur nonylphénol)
A 90 € le maillot, ça fait un peu mal au cul au porte monnaie. Et on est en droit de s’attendre à mieux, mais enfin, que voulez-vous… Il faut s’intoxiquer pour être de bons supporters…
Alors on fait quoi?
On lave ses fringues avant de les porter. On essaie autant que possible de regarder les étiquettes (on regarde les matières et la provenance). On essaie d’acheter des marques qui fabriquent en Europe, ou mieux en France. Même si je sais que c’est un casse tête chinois… (ah ah, elle est bien bonne :-))
Fabriqué en Thaïlande. Aïe Aïe, je devrais me taper sur les doigts! Mention Nike for better world… Mouais…
Bon allez, sur cette nouvelle apocalyptique, qui rajoute à la longue liste des « dangers » de vivre, je vous souhaite néanmoins de beaux matches de foot et d’autre chose! Allez à ciaO ***
Pour info, je pars en déplacement à Lyon demain. Alors pas d’affolement si vous n’avez pas de mes nouvelles dans la journée. Je vais me faire tatouer (si tout va bien, et si je ne change pas d’avis au dernier moment). C’est bien beau d’être tatouée d’idées, mais parfois ça fout un peu les jetons :-). Mais je vous rassure, pas autant que Freddy sous le lit… En même temps, ça fait 3 mois et demi que j’ai le rdv, ce serait trop bête de passer à côté. Je vous promets que je vous raconterai tout dans le détail, avec photos à l’appui. Croisez les doigts pour moi et on se retrouve très vite pour des news fraîches.